« Celui qui cligne de
l’oeil cause du tourment, et celui qui est insensé des lèvres court à sa perte.
» Proverbes de Salomon
Pendant ce mois-ci, je voudrais que vous lisiez tous les proverbes de Salomon
et ceux d’entre eux, qui vous ont beaucoup impressionnes, apprenez-les par
cœur. Je vais vous expliquer après pourquoi faut-il que vous les appreniez par
cœur.
Remarquez que de tous les organes humains, l’œil prend une des places les plus
élevées. L’œil se serve de la lueur et grâce à elle on touche les objets. La
sensibilité de l’oreille se repend grâce à des vibrations particulières de
l’air. Chez l’odorat encore les odeurs se rependent grâce à des particules dans
l’air. Mais quand il est question du goût et du toucher, nous devons nous
servir de moyens purement physiques – avec la touche de la langue ou bien avec
la touche des doigts. Par conséquent, l’œil a un sens purement mental.
Le clignement contient deux mouvements: l’un est lorsqu’ on ferme l’oeil,
l’autre - quand on l’ouvre. Quand on l’ouvre c’est le jour, c’est un moment.
Lorsque tu ouvres et tu fermes les yeux, il passe une période de vingt-quatre
heures. Lorsque tu fermes les yeux, c’est alors que se passent tous les crimes
de la société. Ce clignement vous le faites tous. Quand une mauvaise idée passe
par votre tête, vous cligner des yeux. Celui qui commet de fautes, il cligne
souvent. La jeune fille cligne de l’œil au jeune garçon et le jeune garçon
cligne de l’œil à la jeune fille. De cette façon s’effectue un mouvement
injuste de l’esprit humain. Cligner de l’œil veut dire descendre un pas en bas.
Les yeux des hommes qui clignent, deviennent plus petits, et pour les gens qui
ont de petits yeux, on dit être ruses et malins. C’est le résultat du
clignement. Par la même loi, votre raison dégrade. Lorsque les yeux deviennent
plus petits, la raison dégrade, toutes les idées et les sentiments généreux
s’en vont. Ce qui montre que votre monde devient plus petit et le cercle de vos
connaissances diminue aussi.
Salomon dit dans ses proverbes : « Celui qui cligne de l’oeil cause du
tourment. » Du tourment a qui ? A son âme. Car ses fenêtres deviennent plus
petites et il y passe moins de lumière, or justement par les fenêtres entre la
vie. Si une idée Divine te viens et tu dis: “Le temps n’est pas encore venu”,
ceci signifie que tu as cligne de l’oeil. On te demande de faire un travail,
mais tu dis: “Le temps n’est pas encore venu » - tu as cligne de l’œil. Tu
clignes de l’oeil aujourd’hui, tu clignes de l’oeil demain, l’après-demain; tu
clignes de l’oeil a un jeune homme, a deux, a trois et voilà que tous se
mettent a te suivre, c’est tout un scandale. Si une jeune fille est sérieuse,
nul garçon ne va lui courir après. Dans la vie il existe beaucoup de tels
garçons; ne pensez pas qu’ils sont seulement au niveau physique – ils sont dans
le cœur et dans l’esprit. Sous un clignement on comprend l’homme qui ne veut
pas apprendre les lois Divines.
Chez nous, les Bulgares, il y a une coutume de cligner la tête pour approuver
ou refuser. Lorsque les Bulgares approuvent quelque chose, ils clignent la tête
en bas, et lorsqu’ ils refusent ils clignent la tête – en haut. Vous allez
apercevoir que les chevaux font de même. Ce mouvement a ses raisons : lorsque
le cheval cligne la tête ceci signifie : « Maître, le chemin que tu as pris
avec ta femme et tes enfants, ne mène pas au bon chemin. » Au niveau physique
le cheval est un signe de l’intelligence. Si vous passer près d’un cheval qui
cligne la tête, ceci signifie: “Mon ami, tant que tu tiens cette idée en tête,
les choses pour toi ne vont pas s’arranger.” Corrige ton comportement et
retourne voir ce cheval, et tu verras que cette fois, il ne va plus cligner la
tête. Quand votre raison cligne la tête comme le balancier d’une pendule, ceci
montre que ton travail ne marche pas bien. Tache que ton esprit ne cligne pas
la tête, mais qu’il reste sur place pour travailler. Ceci est en liaison avec
certains états psychiques : les gens qui sont nerveux clignent des yeux.
Lorsque l’homme perd son état mental normal, il cligne la tête, cligne les yeux
et bouge ses pieds, mais ces mouvements sont incorrects, ils ressemblent à un
tourbillon, qui ne fait que tourner la poussière.
De la même façon j’explique la loi de la peine. Quelqu’ un dit : « Je souffre.
» C’est bon, tiens tes yeux ouverts ! - « Mais mon âme souffre beaucoup. »
Tiens tes yeux ouverts ! – « J’ai mal au dos. » Reste au soleil ! Tiens ton
esprit ouvert, éveille et reste les yeux tournés vers Dieu ! Tu dis : « Ah, non
il n’est pas question de penser maintenant a Dieu ! » Avec ces mots, tu as
ferme les yeux. Certaine fille tombe amoureuse d’un garçon, et voilà que déjà
elle ferme les yeux pour sa mère, son père, pour tout le monde a la maison,
elle ne pense que pour le garçon. De même, nous fermons les yeux, l’âme et le
cœur et nous pensons, que pour des choses provisoires.
L’homme a trois sortes d’yeux : les uns sont physiques, les seconds se trouvent
dans l’âme et les troisièmes – dans l’esprit. Si vous avez un soupçon, faites
un petit essai : si le matin, vous vous réveillez avec quelque malaise, restez
sur place et dites : « Je ne vais pas cligner des yeux ! » Tournez votre esprit
vers Dieu, commencez de penser à Dieu, pour tout ce qui est bon, pour les
Anges. Pensez-y pour cinq ou dix minutes et tout de suite vous allez ressentir
un équilibre dans l’âme. Que faites-vous a présent pour vous soigner ? – Vous
vous levez le matin, vous mettez votre sac a dos et vous allez chez les
voisines pour dire: “Savez-vous comme je souffre!” L’autre répond : « Sais-tu
ce qui m’est arrivée ? » Les deux vont après chez la troisième pour lui
raconter leur douleur. Celle-ci se plaint de ses malheurs et qu’est-ce qui se
passe? Chacune porte son sac à dos. Ne faites pas ainsi ! Réunissez-vous toutes
les trois sœurs, asseyez-vous en vous tournant vers l’est, réfléchissez un peu
pour environ dix ou quinze minutes et votre esprit va se rafraîchir et une
Lueur va y pénétrer. Alors dès qu’une idée vous survienne, mettez-la en œuvre.
« Et celui qui est insensé des lèvres court à sa perte ». Dans ce proverbe on
voit les symboles des yeux et de la bouche. Celui qui cligne de l’œil cause du
tourment, et l’insensé est celui qui a cligne de l’œil longtemps. Sa raison est
devenue insensée par le fait d’avoir longtemps cligne de l’œil, c’est à dire il
parle de ce dont il faut et il ne faut pas parler. Tous les gens de nos jours
souffrent de ce fait. Ton mari a fait quelque chose, il t’a dit des paroles qui
t’ont offensés et tu vas de maison en maison pour raconter comment il s’est
comporte. Quand tu répètes souvent une chose, tu mets la main toujours dans le
même panier : « Mon mari est cruel, un vagabond, moi je le croyais être
généreux ! » Et l’autre dit : « Ton mari n’est qu’une fleur, sais-tu comme il
est le mien ! » A qui la faute? Votre mari a cligne de l’œil, et voilà
maintenant c’est a votre tour. Votre mari a cligne de l’œil, et vous voilà déjà
insensée par la bouche. Ce qui rend la débauche dans le monde, ce qui cause les
plus grands malheurs, sont ces images non harmoniques et privées de beauté. Par
exemple tu parles à quelqu’ un, et il se tord la bouche. Que signifie cette
déformation ?
Si tu glisses, tu vas tomber. Ainsi donc, celui qui cligne de l’oeil, son âme
va souffrir, et ce trébuchement ne sera rien d’autre que perdition. Il t’arrive
de tomber par un pont lors d’un accident – c’est un trébuchement. La déchéance
est toujours une perte de l’équilibre dans l’âme. Lors d’une telle chute
arrivent les plus grands malheurs. Le plus important c’est de tenir sa raison
éveillée et pure. Une autre règle importante est : lorsque vous allez parler de
quelque chose, de bien y réfléchir avant. Rendez-vous compte si ce dont tu as a
dire, sera utile pour vous ou pour quelqu’ un d’autre. Si ce dont tu vas dire,
n’instruit personne, utilise la bouche pour autre chose. La bouche n’est pas un
canal pour l’eau impure. De notre bouche doivent sortir que des paroles des
choses les plus suprêmes et les plus pures – tout, ce qui peut mener à la
générosité. Les mauvaises paroles, qui sortent souvent de votre bouche doivent
aller ailleurs, là où se trouvent les eaux impures.
Je vais vous montrer cette loi, la façon dont marche physiquement une idée: si
vous ne tenez pas votre esprit ouvert, c’est-à-dire si vous ne contrôlez pas
vos pensées, ces impuretés vont sortir de votre bouche et après un temps donne
vous allez vous constiper, à la suite de quoi, il vous sera nécessaire de faire
un clystère. Vous dites pour quelqu’ un, qu’il est constipe. Moi je dis: il a
cligne de l’oeil, il n’a pas su garder ses paroles. Chaque idée produit un acte
physiologique sur nous, c’ est pourquoi il est indispensable que de votre
bouche sortent que de mots purs. Sinon vous allez appeler les docteurs. Vous
n’avez pas besoin de docteurs, mais vous devez chercher la raison de chaque
maladie. Tu vas dire : « J’ai fait de ma bouche un canal, je devrai la laver !
» Tous les hommes ont fait de leur bouche un canal et veulent bien vivre. Votre
bouche doit être une gargouille d’un robinet. Si vous avez une constipation, il
vous manque de la science. Les intestins et l’estomac doivent être libres.
Plus tard je vais vous dire quelle est la liaison entre la tête et l’estomac.
Entre l’âme et l’esprit dans le corps, le lien est très étroit. Ayez en vue,
que l’estomac est la tête de l’âme. L’estomac est un homme. Entre cet homme et
la tête il y a un lien étroit, ils s’entendent bien, car tous deux sont des
hommes. Les poumons blancs sont les femmes du cerveau, et le cœur est leur
enfant. L’estomac aussi a une femme et un enfant. Je veux seulement vous donner
l’idée, que chaque pensée qui vous survienne, va produire en vous un certain
résultat dans votre organisme, un résultat qui va se produire à l’instant, ou
bien dans une autre vie. Si vous ne refaites pas vos pensées, elles resteront
telles, même dans mille années. Quelqu’ un dira : « Je suis sauve par grâce. »
Comment ? Quand tu tombes dans l’eau et je te sauve, tu es sauve par grâce,
mais après ton sauvetage, tu dois apprendre à travailler.
J’interprète le vers qu’on vient de lire, car je sais que vous vous bousculez
en vous servant de vos bouches. Savez-vous que la bouche de l’homme est une des
armes les plus rapides, elle est une mitrailleuse. Jusqu’ a maintenant elle a
été dans des mains étrangères et nous devons la libérer. Un homme qui ne pense
pas se tape la tête contre le mur. Par leur tête je donne une telle
classification aux gens : les uns dont la tête est raisonnable et les autres
dont la tête n’est qu’une citrouille. Si votre tête n’est qu’une citrouille,
vous n’avez pas de chance pour réussir. Vous devez efforcez votre cerveau de
bien travailler et de bien faire son travail.
Je ne veux pas que vous perdiez l’espoir et que vous arrêtiez de travailler.
Quand vous constatez une erreur, sachez qu’elle vient de dehors, elle n’est pas
une qualité de l’âme. Vous avez un sac a dos sur vous, ne croyez pas que vous êtes
nés avec. Vous avez une mauvaise idée en tête – elle n’est pas la vôtre,
chassez-la. Lorsque je vous dis que vous avez une mauvaise idée en vous, ne
vous en faites pas, car mon idée pour vous est de vous faire parfaits
intérieurement. Cette pensée qui est en vous, vous fera de la peine. Pour que
ces pensées passent, il faut trouver à leur place des pensées opposées. Ne
clignez pas de l’œil, mais tenez vos idées éveillées. Quiconque qui entre chez
vous, qu’il vienne, mais ne clignez pas de l’œil. Car, Christ dit : « Celui qui
entre par la haie, est un voleur et un brigand. » Chaque pensée qui vous
arrive, doit passer par vos yeux et votre cerveau. Chaque pensée, qui est
entrée par votre cœur est un brigand. Une telle pensée ne doit pas vous
troubler, mais vous devez la tenir hors de l’étable.
A l’intérieur de l’homme, il y a trois unités. Dans l’église orthodoxe, il y a
aussi trois subdivisions qui sont rangées depuis mille ans. Elles montrent le
développement de l’homme. En premier c’est la section des non instruits, puis- les
croyants et en troisième – celle du prêtre, qui fait la messe et qui comprend
la façon dont il faut servir Dieu. Le pope c’est le maître. L’autel est la
place du Maître, qui sort de la, met du feu et de l’encens dans l’encensoir et
le brûle. Si les popes d’aujourd’hui clignent de l’œil, pourquoi brûlent-ils de
l’encens ? Ils ne savent pas pourquoi. Moi, je sais. Vous faites de même
souvent : vous mettez de l’encens dans vos encensoirs et vous vous mettez à
poursuivre le diable. Le diable ne se chasse pas avec de l’encens, ce n’est
qu’un produit désinfectant. Brûler de l’encens signifie que votre cœur doit
être aussi chaud. Les bonnes idées de votre cœur doivent sortir pour purifier
l’atmosphère, dans laquelle vous vivez. Si vous encensez de la même façon, vous
avez bien comprit le symbole de l’encens. Mais si vous portez votre abécédaire
sous le bras sans le lire, il ne vous servira pas. Voilà pourquoi Dieu vous a
donné des yeux qui sont les fenêtres de votre âme.
Par conséquent, chaque fois qu’il fait de
la lumière, nous devons tenir nos yeux ouverts, pour accueillir tellement de
Lumière qu’il nous faut. Certaine fois, vous dites: “Il fait beaucoup de
lumière”, parfois vous dites: “il fait noir.” Bon, alors ouvre encore tes yeux
! Il y a des gens, qui voyagent la nuit où il fait noir, pendant la nuit il y a
aussi de la lumière. Mais pour la voir ils vous sont nécessaires des organes
plus sensibles, qui puissent l’atteindre. Cette lumière est utilisée par les
clairvoyants. Les vrais clairvoyants voient mieux pendant la nuit, par rapport
au jour, car ils ne clignent pas de l’oeil. Ils tiennent leurs yeux ouverts.
Tachez de toujours tenir l’idée que vos yeux doivent toujours restes ouverts !
On dit pour quelqu’un « qu’il est mort les yeux ouverts », et on fait vite pour
les lui fermer. Laissez ce mort avec les yeux ouverts. A présent tous les
maîtres et tous les cures tiennent à fermer les yeux des gens. Ouvrez les yeux
des gens !
Par exemple quelqu’ un n’est pas sérieux
dans la vie, et vous lui dites : « Et tu penses que tu vas devenir chrétien !
Tu es en retard, nous connaissons déjà beaucoup de choses ! » Ceci veut dire
lui fermer les yeux. Que savez-vous?! Non, ne faites pas ainsi! Dis a ton frère
: « Frère, tu as fait un bon début. » Ce n’est pas important l’heure de
l’arrivée. Moi, quand je vais me promener, je marche lentement, je regarde
toutes les bêtes, tout ce que je rencontre lors du chemin, et alors j’arrive.
Il n’est pas nécessaire de faire vite, pour aboutir au sommet Noir. Quand tu
pars pour aller au sommet Noir, observe lors de ton chemin les sources, regarde
les bêtes, les papillons et si ton esprit soit éveille, tu vas voir comment
Dieu accomplit son travail. Je voudrais que les yeux de tout le monde soient
ouverts.
Vous dites : « Que faut-il faire pour se sauver, comment se sauver ? » Celui
qui ne cligne pas de l’œil, il est sauve, et celui qui cligne, il se noie. Pour
cela, ne découragez personne. Vos visages, en les regardant ont l’air sévère,
mais ils ne sont pas tels parce que vous avez un caractère sérieux, mais plutôt
par une tristesse de la jeunesse perdue. Vous vous dites : « Autrefois, j’étais
belle, jeune ! » Tu n’es pas vieille, ne te trompe pas ! Les idées que tu as en
toi, sont vieilles, ton âme est toujours jeune. Quand ton corps vieillit, il
n’est plus capable d’interpréter tes idées, et alors Dieu dit aux anges: “Va et
déshabille mon enfant dont les habits sont sales et ne peuvent plus se laver!”
Moi, je dis : frère, on va te déshabiller. Ou bien, comme vous dites, tu dois
partir et revenir une deuxième fois.
Quand je parle d’yeux ouverts, je voudrais que vous teniez votre corps toujours
propre. Je vais vous dire quelle influence ont les bonnes idées sur votre corps
physique. Chez les sains qui ont menés une vie pure, se forme une odeur
agréable particulière, une odeur intérieure appelée nuxe. Quand vous avez une
bonne humeur mentale, quand vous avez eu une réflexion quelconque, vous
ressentez une odeur agréable, qui appartient a un esprit élevé, qui vous a
visité. Prenons par exemple le jeune: lors du jeune, on ressent de telles idées
et on voit de telles choses, dont les autres n’en sont pas capables. Il y a des
gens religieux qui prient beaucoup, mais ne voient rien – ils ne pensent que
d’être sauves. Abandonnez de telles pensées ! Il y a des souffrances dans
l’autre monde, mais ici il y en a de pires. Lorsque vous commettez un crime,
vous ressentez être dans un grand enfer. Chacun a ressenti cet enfer dans son
âme, pourquoi cherchez-vous un autre enfer ? L’autre enfer n’est qu’un jeu.
Celui qui est a l’intérieur est affreux et alors vous dites : « Ce ver ne cesse
de travailler, quand est-ce qu’il va finir ? » Il ressemble à un échinocoque,
vous prenez des médicaments pour le chasser, vous le mettez à la porte, mais sa
tête reste encore.
Vous demandez : « Pourquoi m’arrive cet
échinocoque ? » Parce que vos yeux ont été fermes. Par cette maladie est entre
un esprit impur, qui suce sans cesse. Il va disparaître des que vous appreniez
a tenir vos yeux ouverts, et votre bouche de ne pas être insensée. Vous pouvez
entraîner votre volonté de façon à ce que l’échinocoque sorte dans une minute.
Ainsi donc, nous les gens d’aujourd’hui, qui pouvons-nous soigner tous seuls,
nous n’avons pas besoin de docteur. Vous devez vous tremper. Pour savoir si ta
pensée est forte ou pas, fais la chose suivante : tu as du rhumatisme, que tu
n’arrives pas a guérir avec des médicaments; vois tout d’ abord la nourriture
qu’il lui faut, et puis par la force de la volonté commence a le faire bouger
d’un endroit a un autre dans ton corps. Lorsqu’ il commence a se déplacer d’un
endroit a un autre, dis-lui: “Monsieur, tu es entre dans mon organisme, quand
mes yeux ont été fermes, sort maintenant par la porte de derrière ! » Des
portes de derrière, on en a beaucoup. Lorsque quelqu’ un attrape froid, les
médecins lui donnent de l’aspirine, qui cause la transpiration. Les pores par
lesquelles s’effectue la transpiration, représentent des portes de derrière. Je
ne dis pas que vous ne devez pas transpirer, mais je dis, qu’une idée qui entre
dans notre corps physique, doit sortir par ces pores. Les pores se sacrifient
pour nos yeux et disent: “Nous sommes prêts a servir notre maître.” Toutes les
impuretés sortent par les pores. Lorsque l’homme commet une erreur dans le
monde moral, il ressent qu’en lui se rassemblent beaucoup de sédiments. Ne
rejette pas cette peine, mais soit héros de chercher sa cause. Quelqu’un dit :
« Je veux être sain ! » Si tu veux le devenir, poursuit le chemin du sain. Or,
des que tu ressens un malaise dans le dos, et voilà que tu viens me chercher.
Les malaises, les malheurs, les souffrances sont nécessaires et ne vous en
désolez pas, mais plutôt cherchez un moyen de les utiliser. Le diable est entre
en nous, et nous ne devons pas le jeter dehors, mais de le faire travailler et
lui dire : « Nous avons travaillé pour toi pendant huit millions d’années,
c’est ton tour maintenant de nous servir!” Le diable est une créature
intelligente et voilà pourquoi on doit le mettre au travail.
L’exercice principal, que vous devez accomplir lors de ce mois, est le suivant
: développement de la volonté. Mais pas celle, que vous avez, mais celle qui
est raisonnable, la volonté Divine. Lors du développement de la volonté, vos
idées doivent être bien précises. Vous ne devez pas garder à la fois deux idées
en tête. Sous une idée, on comprend un travail, qu’il faut faire en premier et
puis d’en faire un deuxième. Tout est lie en nous comme dans une chaîne. Je
vais éclaircir mon idée: nous suivons un plan Divin, clairement trace et chacun
va faire son travail différemment. Admettons, que l’un de vous est tisseur,
l’autre – écrivain, un troisième – travaille les vignes etc. Le commerçant va
attribuer ses idées dans le commerce, le tisseur – dans la tisseranderie, le bêcheur
dans le bêchage, en somme chacun dans son domaine. Celui qui est tisseur, va
tisser de façon dure et solide, sa pelote doit être solide, son fil doit être
également solide, et non pas déchire. Car chaque idée se tisse par les pensées
et les désirs, qui vous surviennent. Ainsi se forme l’idée entière. Ce fil doit
être solide et tisse par toutes les règles. Ce fil tisse de cette façon, va se
manifester comme Force de votre volonté, car la volonté doit toujours faire
preuve dans le monde matériel.
Là où nous voulons interpréter ses propres idées, nous aurons des difficultés
et des obstacles. Ce monde est un puzzle pour nous. Par exemple vous vous
mariez avec un homme et vous voulez être heureuse, mais vous n’arrivez pas à
vous mettre d’ accord. A qui la faute ? Il lui manque quelque chose a votre
mari, a vous aussi – tous deux vous êtes entrés avec les yeux fermes. Si sa
tête de derrière est un peu penchée ou plate, si ses yeux sont trop petits, et
ses lèvres sont minces, qu’attendez-vous d’un homme pareil ? Ceci montre que
vous n’ êtes pas fait l’un pour l’autre. Bon, alors qu’est-ce qui vous reste ?
– De faire vos lèvres plus épaisses, de développer votre cœur. Pour développer
votre cœur, il faut faire travailler votre volonté.
Les phrénologues disent, que les gens d’aujourd’hui ont quarante et une portes,
par lesquelles ils peuvent accueillir des visiteurs. Vous essayez de passer par
une porte – vous ne pouvez pas y entrer, vous essayez une autre et enfin vous
allez trouver une porte par laquelle, vous réussirez d’entrer. Ainsi donc, vous
avez maintes façons d’influencer aux gens. Même l’enfant connaît cette loi, et
remarquez que lorsqu’ il veut quelque chose, il commence par les mots: « Maman,
donne-moi ça ! » - « Pas maintenant ! » Il commence alors à te caresser, à
t’embrasser et à la fin tu arrives à te consentir. Il a ouvert une de tes
portes et il est entre dedans. C’est un enfant intelligent, puisqu’ il a
utilisé de cette manière sa volonté. Tu vas répliquer : « Je ne veux pas être
hypocrite. » Tu n’as pas le choix, tu vas caresser, tu vas faire briller cet
homme. Sa main est sale – tu vas la laver, tu vas lui faire un pansement. Vous
devez étudier l’âme humaine, ce n’est pas un art facile. Je parle de relations
entre des gens sains, mais si tous les deux vous êtes malades, vous allez
appeler un de vos confrères. Une fois naît un enfant – il va guérir son père et
sa mère. Chaque membre personnellement peut sauver toute la maison.
Ouvrez vos yeux vers Dieu ! Sachez qu’il n’ y est pas de Créature plus intelligente,
plus gentille, plus sensible, plus aimable que Dieu. Aucuns Anges, Séraphins,
Chérubins ne peuvent être compares a Dieu. Quelqu’ un dit : « Bon, alors ce
Dieu, pourquoi va-t’ il s’occuper de moi ? » Vous faites souffrir Dieu en ne
pas Lui avoir confiance. Les philosophes disent : « Ce n’est pas possible que
Dieu s’occupe de toi, tu n’es rien qu’un pygmée ! » Sachez que Dieu prend soin,
même des créatures les plus petites dans l’océan, il les écoute, pourquoi
pensez-vous qu’il ne vous écoutera pas. Cependant, les gens du XX siècle, vous
tenez vos yeux fermes et vous vous privez de la lumière Divine. Si on habite
dans une cave une dizaine d’années, nous attraperons beaucoup de maladies. Je
prétends que ceci est vrai non seulement pour le plan physique, mais aussi pour
le monde Spirituel, ou les raisons sont les mêmes. Nous prions Dieu, toutefois
nous ne sortons pas des caves. La première chose est d’ouvrir ses yeux vers
Dieu. Mais tu vas dire: “J’ignore ce qu’est Dieu.” Ceci n’a pas d’importance. Il
se peut que moi aussi j’ignore quels sont les éléments du Soleil, mais cela ne
m’empêche pas de tourner mon dos vers lui, pour tirer profit de ses rayons. Les
gens scientifiques disent : « Ne t’exposes pas a ses rayons, car tu ignores sa
force ! » L’homme qui approche vers Dieu, même s’il ne le connaît pas beaucoup,
est sauve, qu’il soit mauvais ou pas.
Sachez que par cette Doctrine, dont je vous parle, l’homme ne se perd pas. Même
s’il t’arrive de perdre les mains, les jambes, les yeux, les oreilles, etc., tu
ne te perds pas. Toutefois vous dites : « On l’a chasse. » Ce n’est rien, on
l’a chassé de l’école pour une ou deux années, puis il recommencera ses études.
Celui qui sème le trouble, il va être chassé dehors. Si vous n’ êtes pas
capables d’accomplir ce, dont on vous apprend, vous allez être chasse, pour que
d’autres qui veulent écouter et accomplir, viennent.
A présent, sur un plan spirituel, je vous entends souvent taper sur les bancs.
On ne peut apprendre une science de cette façon. Cela ne vous aidera pas à
l’école, de taper sur les bancs. Celui qui a de la volonté, il va l’exercer non
pas sur les bancs, mais sur le rhumatisme, ou bien quand il a mal au ventre.
Mettez en vous vos idées pures, pour voir quel est le pouvoir des influences
pures. Si vous avancez ne soit-il avec une centaine de million du millimètre,
c’est déjà beaucoup de choses. Ne croyez pas qu’avec le commencement de
l’apprentissage de cette Doctrine, vous allez progresser à l’instant. J’admets
comme un grand succès, seulement si vous avancez avec une centaine de million
du millimètre. Et c’est déjà un progrès. Dans toute l’ Eternite il y aura un
progrès de connaissances. Moi aussi, j’avance avec une telle vitesse, ne vous
désespérez pas. Tout savant, qui veut observer, avance lentement. Or, vous
voulez vite aboutir et puis vous dites: “Je suis prêt pour devenir professeur.”
Cette centaine de million du millimètre est éternelle et la masure la plus
précise.
Je vais vous présenter une figure: imaginez la projection d’un centre d’infinité
et supposez, que pour vingt-quatre heures, elle doit former un cercle.
Savez-vous quelle vitesse doit-elle avoir pour faire une centaine de million d’
un kilomètre ? Ici, elle circule très lentement, mais là-haut elle circule à
une vitesse plus grande. Au centre, la vitesse est petite, mais en haut elle
augmente. Si la matière de votre cœur circule à une vitesse pareille, votre
cœur et votre esprit vont finir par fondre. C’ est pourquoi en bas, il faut
avancer lentement, pour qu’en haut le mouvement soit harmonique. Et surtout ne
vous désespérez pas !
Pour que vous puissiez exercer votre volonté, chaque fois il faut transformer
un état désagréable avec un autre, qui soit agréable. Je vais vous donner une
méthode pour renforcer votre volonté. Par exemple vous avez un sentiment
désagréable et vous n’arrivez pas a vous en débarrasser : levez-vous, et
consacrez une heure pour visiter une famille, qui se trouve dans un état
beaucoup plus grave que le vôtre. Ne dites pas : « Ma tête brûle, pourquoi donc
irai-je voir les autres ! » Visitez une telle famille, ou manque du bois, du
pain, ou il n’y a rien, restez-y pour dix ou quinze minutes et voyez s’il y en
a de plainte ou pas. Retournez chez vous et faites la comparaison entre votre
situation et la leur.
Je voudrais que vous bâtissiez votre bâtiment. Quelle que soit l’idée généreuse
qui vous soit au cœur, accomplissez-la. Vous allez la mettre en œuvre non pas
comme c’est écrit dans les livres, mais comme votre cœur vous pousse de faire.
Vous allez l’accomplir non pas par obligation, mais par la loi de la volonté
Divine. Vous pouvez songer : « Tout d’ abord, je vais réparer ma maison. » Tous
les hommes ne sont-ils pas des bâtiments de Dieu ! Une seule personne à
laquelle on peut venir en aide, est toujours un bâtiment de Dieu. Ne t’oppose
pas a la loi de ton père et de ta mère, garde ta volonté en accord avec la leur
et tu seras sauve.
N’abusez pas de tremper votre volonté. Il suffit que chaque jour vous fassiez
une petite chose. Par exemple, de donner un verre d’eau a quelqu’ un, cela est
suffisant. Vous allez dire : « Même une si petite chose ! » C’est du travail
réel.
Une autre règle : n’allez pas chez des gens et des familles, alors que vous
vous sentez malheureux et désespérés, pour vous soulager. N’emportez pas votre
poubelle chez vos proches, ceci n’est pas une science – il ne faut pas vous
soulager de la façon. Ainsi vous allez y aller pour prendre, mais sans le
vouloir vous allez vous laisser prendre. Si vous allez voir les autres maisons
dans le but de vous soulager, de déposer là-bas vos ordures, tout le monde va
s’en rendre compte et ils ne vont plus vous accepter. Je veux que vous tous
soyez propres, qu’il n’ y ait rien sous vos ongles. Rendez vos vêtements
propres, lavez-vous et alors vous pouvez appeler Dieu ! Car la seule pensée
d’être propre demande de la volonté, l’idée de te rendre propre auprès de Dieu
reflète sur ta conscience. Si tu es impropre, enlève ton vêtement, lave-toi et
va auprès de Dieu, va prier ! Un élève mal soigne, n’est pas admis. Ce qui ne
veut pas dire être maniaque et de contrôler la propreté des gens. Chacun doit
contrôler la sienne. Celui qui s’occupe des ordures d’autrui, il se rend
impropre.
Ainsi on va débuter par le physique pour aller au spirituel. J’approuve les gens
mondains, car ils ont un bon début, ils prêtent beaucoup d’attention sur la
propreté physique. Il leur suffit de faire un pas en avant, pour entrer dans le
Royaume de Dieu. S’ils possèdent cet art – la propreté physique, ils pourront
facilement passer au niveau spirituel. Ces choses sont utiles pour créer une
atmosphère bienfaisante pour la pensée humaine. Justement par l’impureté des
idées, se crée une mauvaise atmosphère, a la suite de quoi les élèves se démagnétisent.
Pour le fonctionnement de la raison, il doit y avoir toujours de la propreté.
Pour observer le ciel, il faut de la propreté. Ainsi, Christ en visant ceux qui
ont un cœur pur vont voir Dieu, Il nous montre que la propreté est une
condition pour la vue. Ainsi donc, retenez que la propreté est une nécessité
pour renforcer la volonté. On peut l’apprivoiser seulement par l’apprentissage.
C’est une religion. La religion a pour but de cultiver le cœur, or il ne faut
pas s’arrêter là. Cette révérence devant Dieu doit s’effectuer par l’Esprit, dans
la vérité et la compréhension.
Ces Pouvoirs, que Dieu nous a donnes, nous devons savoir comment les utiliser.
Il y a une constipation dans l’âme et le cœur, qui doit être raisonnablement
utilisée. Vous dites a propos de quelque chose : « Attachons-le comme un bœuf
avec la corde. » On ne peut faire ainsi. Que représente la corde ? La corde est
une loi, avec laquelle vous pouvez conduire les pensées de votre âme, votre
raison et votre cœur. Ne fait pas attention si vous avez une bonne humeur ou
pas. Fais une petite lecture et lorsque le jour s’achève, rends- toi compte de
ce que tu as appris. Inscrivez-le dans un carnet. Jusqu’ à présent votre vie a
été très confuse : vous vous levez le matin et jusqu’ a midi, vous êtes dans la
cuisine, l’après-midi encore des vas et des viens et le soir vous vous couches
fatiguées. Vous vous dites : « Et demain encore la même chose nous attend,
quand est-ce qu’on va se libérer ? » Vous n’allez pas vous libérer, car par ce
travail vous gagnez des connaissances, vous endurez votre volonté grâce à ces
difficultés.
Ne jugez pas les autres, laissez-les avec leurs fautes, mais que les plus forts
viennent en aide aux plus faibles. Il n’y a pas de plus bonne prière que celle
d’aider votre frère. Le Seigneur a qui tu pries, est intelligent et dit : «
Ecoute donc, arrête de me parler, mais va plutôt dehors et fais ce travail ! »
Mais tu diras : « Seigneur, je suis occupé. » Tu es occupé, car tu as mis sur
ton dos un poids plus lourd que tu ne peux porter. C’est comme si un enfant a
pris une algèbre pour la regarder, malgré qu’il sache a peine compter. La même
chose se passe avec vos pensées – parfois vous avez de bonnes pensées et de
bons sentiments et vous dites : « Moi, je suis en très bonne humeur. » Cette
humeur vous vient d’un ami qui vient de vous visiter et vous nourrir. Ne vous
trompez pas, demain vous n’allez plus avoir de telles fêtes. La principale
chose pour vous, c’est de vous mettre au travail et de savoir que chaque jour
vous finissez un travail qui vous importe. Gardez votre cœur pur, votre âme –
fraîche, votre raison – éveillée, et votre esprit – fort !
Lors de ce mois, aidez-vous les uns, les autres. Ne racontez pas entre vous,
que le Maître a dit ceci ou cela pour vous faire peur. Je raconte des choses
réelles, mais vous interprétez faussement les choses. Celui qui s’instruit est
toujours en tête, et celui qui ne s’instruit pas est toujours à l’arrière. Il
existe beaucoup d’âmes humaines qui se sont tellement élevées, qu’elles ont
atteintes les Anges et il y a beaucoup d’Anges qui ont succombes. Ayez en vue
que vous avez la possibilité de vous instruire et si vous ne le faites pas,
c’est un péché de votre âme. Il n’y a que le diable qui est vieux. Pensez que
vous êtes jeunes dans ce savoir Divin, pour que vous puissiez y mettre toute
votre volonté !
Certains sont riches, d’autres - pauvres. La pauvreté est un travail, la
richesse est un repos. Il y a une mauvaise pauvreté et une bonne pauvreté,
c’est-à-dire un mauvais travail et un bon travail. Le bon travail est celui que
tu sais faire, et le mauvais – lorsque tu ne sais pas travailler. De la même
manière il y a une mauvaise richesse et une bonne richesse. Mais il se peut que
ces situations changent de rôles. Aujourd’hui tu peux être pauvre, dis : «
Grâce à Dieu, j’ai du travail » et commence à travailler. Demain tu es riche,
dis : « Aujourd’hui je vais me reposer. »
Maintenant je dis : ce soir nous allons aussi faire bouger le monde d’une
centaine de million du millimètre, mais nous devons travaillez en collectivité.
Lorsque je vous dis de transformer la haine en amour, vous êtes stupéfaits,
mais on peut toujours enlever la haine, car elle est à l’intérieur de nous.
Comment l’enlever ? Si vous voulez purifier l’eau, laissez-la se déposer ou bien
mettez-en un peu d’aluh, pour qu’elle devienne plus claire. Ayez en vue, que
vous êtes dans une Ecole et vous allez suivre les leçons, qu’on vous donne.
Celui qui m’écoute et n’accomplit pas, savez-vous a quoi il a l’air? C’est
comme si vous lui faites visiter un petit restaurant seulement pour sentir les
plats et puis de repartir, en même temps il a très faim. Or, on ne peut vivre
que pour sentir. De la même façon, beaucoup sont ceux qui ne font que sentir la
christianisme et disent : « C’est parfait, c’est délicieux ! » Celui qui veut
être chrétien par ses connaissances, doit savoir qu’il peut être sauve, peut
être soigne, peut être habille, mais les connaissances par grâce ne peuvent pas
venir. C’est une compréhension humaine. Pierre dit: “ En partie on connaît, en
partie on s’instruit.” On ne doit pas seulement réfléchir. Penser, c’est ton
devoir. Prier, montre que tu dois payer ton du. Tu dis : « Je respire »; tu es
oblige de respirer, ce n’est pas un travail de ton esprit. Le savoir provient
de la liberté de l’esprit humain, de la compréhension de la volonté Divine. Je
veux que vous êtes libres, de réfléchir, ici votre humeur est sans importance.
Le maître ne peut pas mettre une note à l’élève par grâce. S’il n’apprend pas,
on ne peut pas lui mettre une note parfaite – la note parfaite doit être à
l’intérieur de vous-mêmes. Moi, je n’ai pas des notes parfaites, mais je ne
donne rien par grâce, et je ne mets une note parfaite qu’à celui qui ne sait
pas travailler. Que veut dire la note parfaite ? C’est une loi du progrès, du
développement. Quand on vous met sept, c’est la loi de la perfection.
Vous voulez débuter avec de grandes choses, mais il faut vous retourner un peu
en arrière. Lorsque Christ est venu de l’autre monde, le Seigneur l’a mis à
l’arrière, à l’école. Il s’est instruit pendant trente et trois années, malgré
qu’il provienne d’un endroit supérieur, il s’est soumis, il était sage, il
était charpentier et fabriquait des chaises. Il fabriquait des chaises pour
vous, qui maintenant ne vous disputez que pour des chaises. La chaise symbolise
une situation importante, que l’homme doit prendre dans le monde. On se dispute
dans la maison, partout – que pour des chaises. Christ a appris cet art de
fabriquer des chaises, pour que quand vous vous y essayiez avec plaisir. Christ
avait le désir de sauver les hommes. Comment? Il instruisait de manger de la
nourriture saine. Il faut nourrir son âme avec de la nourriture saine, la
raison – avec des idées saines, et le cœur – avec des sentiments sains.
le 7 novembre 1918,
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