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vendredi 29 août 2014

SOYEZ PARFAITS COMME VOTRE PÈRE CÉLESTE EST PARFAIT



Le pire des esclavages pour l’homme est la perte de cette lumière venue de tous les sanctuaires de l’antiquité qui enseignaient qu’il est fils de Dieu. Quand Jésus est venu révéler cette grande vérité à la foule, il a été crucifié ; jamais jusque-là cette vérité n’avait été révélée au peuple de peur qu’en prenant conscience de sa grandeur, il n’obéisse plus aux règles qui lui étaient imposées par les pharisiens et les sadducéens. Le Christ a été le plus grand révolutionnaire parmi les messagers de Dieu, il a passé outre à toutes les lois anciennes, c’est pourquoi on lui a fait expier sur la croix cette audace qu’il avait eue de dire que tous les hommes étaient fils d’un même Père.

 Il était déjà écrit dans l’Ancien Testament : « Vous êtes des dieux », mais cette vérité avait été volontairement mise à l’écart et elle l’est encore aujourd’hui. Pourtant le salut des humains est dans la reconnaissance de cette réalité qu’ils sont tous les fils du même Père, Dieu, et de la même Mère, la Nature, l’Âme universelle. Tant qu’ils n’en prendront pas conscience, ils ne connaîtront pas leur véritable nature, ils passeront à côté de l’essentiel, et évidemment ils souffriront.

Aussi bien ceux qui ne veulent pas reconnaître à tous les hommes leur origine divine que ceux qui ne cherchent pas à découvrir cette origine en eux-mêmes, tous ceux-là souffriront, car il est impossible de trouver le bonheur tant qu’on rejette cette vérité fondamentale de l’essence divine de l’homme.

 Oui, car Dieu a déposé en l’homme un noyau, un germe, un modèle de perfection, de splendeur, dont nous devons nous approcher jusqu’à ne plus faire qu’un avec lui.

C’est pour les pousser à atteindre ce modèle que Jésus disait à ses disciples : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ». Et comment peut-on devenir parfait comme son Père céleste quand on ne sait pas comment Il est puisqu’on ne L’a jamais vu ?… En réalité il n’est pas nécessaire de L’avoir vu. Puisque dans chaque créature est déposée, comme une graine, cette image de la perfection du Père céleste, si vous nourrissez cette graine, si vous l’arrosez, si vous la vivifiez, peu à peu vous vous approcherez de la perfection. Il y a en vous une semence où est gravée l’image de la perfection divine, mais il faut avoir un idéal élevé pour pouvoir l’alimenter, la renforcer, afin que cette semence se mette à germer.

C’est pourquoi on peut dire que l’homme est venu sur la terre avec une mission. Mais ne comprenez pas mal ce mot « mission ». Beaucoup de gens très ordinaires s’imaginent qu’ils ont une mission : ils n’ont ni facultés, ni dons, mais ils se sont mis dans le crâne qu’ils sont envoyés par le Ciel pour rétablir l’ordre dans le monde, et quand on les voit tellement faibles et chétifs, on est stupéfait ! Bien sûr, nous tous, nous avons une mission, mais il faut savoir laquelle. Cette mission est de développer tous les germes des qualités et des vertus que le Ciel a déposés en nous. Que, de temps en temps, le Ciel choisisse un être pour une mission exceptionnelle, c’est possible aussi, mais la mission collective des humains est de se développer peu à peu jusqu’à la perfection. Même s’ils n’ont pas de grandes facultés, même s’ils sont encore abrutis, ils ont cette mission à accomplir : travailler, s’améliorer, évoluer.

Malheureusement, pour les fausses missions beaucoup sont prêts – ils se croient capables de sauver la France comme Jeanne d’Arc ! – mais leur vraie mission ne les intéresse pas. Non, il faut s’occuper d’abord de cette mission que Dieu a donnée à tous les hommes : devenir parfaits comme Lui. Et comme dans une existence, qui est tellement courte, ils n’y arriveront pas, ils reviendront pour continuer leur travail.  Car lorsque Jésus disait : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait », il sous-entendait la réincarnation.

Sinon, lui qui était tellement sage et éclairé, comment pouvait-il demander aux humains de devenir parfaits en une seule  existence ? Ou bien il ignorait la faiblesse humaine, ou bien il n’avait aucune idée de la grandeur de Dieu. S’il n’avait pas envisagé la réincarnation, ce précepte aurait été insensé. Avec la réincarnation tout devient possible et sensé. Et si Jésus a demandé la perfection aux humains, c’est justement parce qu’il savait que le perfectionnement est la loi de l’univers entier.

 Dieu est parfait, l’homme ne l’est pas, mais il peut le devenir puisqu’il est écrit au début de la Genèse que Dieu l’a créé à son image. « Et Dieu dit : Faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail… » Et plus loin : « Dieu créa l’homme à son image, à son image Il le créa. » Le mot image est répété alors qu’on ne trouve plus le mot ressemblance… Pourquoi ? et quelle différence y a-t-il entre l’image et la ressemblance ? Dieu avait donc l’intention de créer l’homme à son image et à sa ressemblance, mais Il ne l’a pas fait. Il l’a créé seulement à son image, c’est-à-dire avec les mêmes facultés, mais sans lui donner la plénitude de ces facultés : la ressemblance.

 Pour mieux comprendre, prenons le gland d’un chêne par exemple : il est à l’image de son père le chêne, c’est-à-dire qu’il a potentiellement les mêmes qualités que lui, mais il ne lui ressemble pas – regardez la différence entre les deux ! C’est seulement quand le gland sera planté qu’il deviendra chêne comme son père. L’homme est à l’image de Dieu, c’est-à-dire qu’il possède la sagesse, l’amour, la puissance, etc., mais à un degré infiniment moindre que le Seigneur. Quand il se sera développé – au cours du temps – il lui ressemblera, il possédera ses vertus en plénitude. Donc, vous voyez, ce développement, le passage de l’image à la ressemblance, sous-entend la réincarnation. Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance », mais Il n’a pas réalisé la ressemblance. « Dieu créa l’homme à son image, à son image Il le créa ». Dans l’absence du mot ressemblance et la répétition du mot image, Moïse a caché l’idée de la réincarnation.

 « Mais, direz-vous, il n’y a aucune trace de l’idée de réincarnation dans les Évangiles. » Eh bien, c’est là que vous vous trompez. Bien sûr, elle n’y est pas mentionnée explicitement, mais pour celui qui sait lire, c’est clair.

 Étudions dans les Évangiles certaines questions qui sont posées par Jésus ou ses disciples et les réponses données. Un jour, Jésus demande à ses disciples : « Qui dit-on que je suis ? » Que signifie cette question ? Est-ce que vous avez souvent vu des gens demander : « Qui dit-on que je suis ? » Et regardez la réponse des disciples : « Les uns disent que tu es Jean-Baptiste, les autres Élie, les autres Jérémie ou l’un des prophètes ». Comment peut-on dire que quelqu’un est tel ou tel autre qui est déjà mort depuis longtemps, si on ne sous-entend pas l’idée de réincarnation ?

 Une autre fois, Jésus et ses disciples rencontrent un aveugle de naissance, et les disciples demandent : « Rabbi, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ?» Où donc cet homme aurait-il pu pécher avant sa naissance ? Dans le ventre de sa mère ? Ou c’est une question stupide, ou elle sous-entend que Jésus et ses disciples parlent d’une vie antérieure. Les disciples ont demandé si c’étaient les parents qui avaient péché, parce qu’ils avaient appris dans la loi hébraïque que chaque anomalie, chaque infirmité, chaque malheur est dû à une transgression des lois, mais que souvent une personne peut payer pour une autre, et donc, lorsqu’on voit quelqu’un dans le malheur, on ne peut savoir s’il expie ses propres fautes ou s’il se sacrifie pour un autre.

 C’était là une croyance admise chez les Juifs. Tout ce qui peut arriver de mauvais étant le résultat d’une transgression, les disciples ont donc posé la question parce qu’ils savaient qu’un homme ne peut pas naître aveugle sans raison… ou seulement parce qu’il plaît à Dieu de le faire aveugle, comme l’imaginent les chrétiens. Et Jésus répondit : « Ce n’est pas que lui ou ses parents aient péché, mais c’est afin que les œuvres de Dieu soient manifestées en lui », c’est-à-dire pour que, passant par là, je le guérisse et que le peuple croie en moi. Les hommes souffrent pour deux raisons : ou bien ils ont commis des péchés et sont punis, ou bien, sans avoir eux-mêmes commis de fautes, ils prennent le karma de certains autres, ils se sacrifient pour évoluer. Mais il existe une troisième catégorie qui a fini son évolution, qui est libre, et que rien n’oblige à redescendre sur la terre. Et souvent ils descendent parce qu’ils acceptent de supporter n’importe quelle maladie, souffrance ou infirmité, et même d’être martyrisés, afin d’aider les humains. Eh bien, cet aveugle-né faisait partie de la troisième catégorie.

 Et si vous n’êtes pas encore convaincus, voici encore d’autres arguments. Un jour, Jésus apprend que Jean-Baptiste vient d’être emprisonné, et le texte dit seulement : « Jésus, ayant appris que Jean avait été livré, se retira dans la Galilée ». Quelque temps après, Jean-Baptiste est décapité sur l’ordre d’Hérode. Après la transfiguration, les disciples demandent à Jésus : « Pourquoi les scribes disent-ils qu’Élie doit venir premièrement ? » Et Jésus répond : « Il est vrai qu’Élie doit venir et rétablir toute chose, mais je vous dis qu’Élie est déjà venu, qu’ils ne l’ont pas reconnu et qu’ils l’ont traité comme ils l’ont voulu ». Et le texte ajoute : « Les disciples comprirent qu’il parlait de Jean-Baptiste ». Donc, il est clair que Jean-Baptiste était la réincarnation d’Élie. D’ailleurs, l’Évangile rapporte aussi que lorsqu’un ange apparut à Zacharie, père de Jean-Baptiste, pour lui annoncer que sa femme Élisabeth allait donner naissance à un fils, il lui dit : « Il marchera devant Dieu avec l’esprit et la puissance d’Élie ».

 Allons voir maintenant la vie du prophète Élie et cherchons ce qu’il a fait pour avoir la tête coupée lorsqu’il s’est réincarné plus tard en tant que Jean-Baptiste. C’est toute une histoire, très intéressante. Élie vivait au temps du roi Achab.

Achab avait épousé Jézabel, fille du roi de Sidon, et à cause d’elle rendait un culte à Baal. Élie se présenta devant le roi Achab pour lui reprocher son infidélité au Dieu d’Israël et lui dit : « Il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole ».

Puis il partit sur l’ordre de Dieu se cacher dans les montagnes pour échapper aux recherches du roi. Au bout de trois ans la sécheresse avait fait de grands ravages dans tout le pays : le peuple souffrait de la famine, et Dieu envoya Élie se présenter de nouveau devant Achab. Dès qu’il l’aperçut, le roi reprocha violemment à Élie d’être la cause de cette sécheresse. « Non, dit le prophète, c’est toi qui en es la cause, parce que tu as abandonné l’Éternel pour rendre un culte au dieu Baal.

Maintenant on va voir qui est le vrai Dieu. Ordonne le rassemblement de tous les prophètes de Baal sur la montagne du Carmel… » Tous les prophètes furent rassemblés, et Élie dit : « Maintenant, qu’on amène deux taureaux, nous allons faire deux autels, un pour Baal et un pour l’Éternel. Les prophètes invoqueront Baal et moi j’invoquerai l’Éternel. Le Dieu qui répondra par le feu sera le vrai Dieu. »

 Les prophètes commencèrent ; depuis le matin jusqu’à midi ils firent des invocations : « Baal… Baal… Baal… réponds-nous… » Mais aucune réponse, et Élie se moquait d’eux : « Criez un peu plus fort, pour qu’il vous entende, parce qu’il est peut-être préoccupé par quelque chose, ou bien il est en voyage, ou bien il dort ». Les prophètes crièrent plus fort, et même, comme ils pratiquaient la magie, ils se firent des entailles sur le corps, parce qu’ils espéraient, par le sang qui coulait, attirer des larves et des élémentaux qui feraient tomber le feu sur l’autel. Mais rien ne se produisit. Alors Élie dit : « Maintenant, ça suffit, qu’on apporte douze pierres ». Et avec ces pierres il fit un autel autour duquel il creusa un fossé ; il plaça du bois sur les pierres, et sur le bois, le taureau coupé en morceaux. Puis il fit tout arroser d’eau et remplir aussi d’eau le fossé. Maintenant, tout était prêt, et Élie invoqua le Seigneur :
« Éternel, Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël, que l’on sache aujourd’hui que tu es Dieu en Israël, que je suis ton serviteur et que j’ai fait toutes ces choses par ta parole ». Et le feu tomba du ciel, tellement puissant qu’il consuma tout : il ne restait plus ni victime, ni bois, ni pierres, ni eau. Tout le peuple terrifié reconnut que le vrai Dieu était le Dieu d’Élie. À ce moment-là, Élie, sans doute un peu trop fier de sa victoire, fit conduire les quatre cent cinquante prophètes de Baal près d’un torrent où on les égorgea.

 Voilà pourquoi il fallait s’attendre à ce qu’il ait, à son tour, la gorge tranchée. Parce qu’il existe une loi que Jésus a énoncée dans le jardin de Gethsémani au moment où Pierre, se précipitant sur le serviteur de Caïphe, lui coupa l’oreille : « Remets ton épée au fourreau, lui dit-il, car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée ». Or, dans une même existence, on ne voit pas toujours la véracité de ces paroles. Et Élie, justement, comment est-il mort ? Non seulement il n’a pas été massacré, mais on lui envoya un char de feu par lequel il fut transporté au ciel. Mais il reçut la punition de sa faute lorsqu’il revint sur la terre en la personne de Jean-Baptiste. Jésus savait qui il était et ne fit rien pour le sauver : la justice devait suivre son cours.

 Jusqu’au quatrième siècle, les chrétiens croyaient à la réincarnation, comme les Juifs, les Égyptiens, les Hindous, les Tibétains, etc. Mais sans doute les Pères de l’Église se dirent-ils que cette croyance faisait traîner les choses en longueur, que les gens n’étaient pas pressés de s’améliorer, et ils voulurent donc les pousser à se perfectionner en une seule vie en supprimant la réincarnation. D’ailleurs, peu à peu l’Église inventa des choses tellement affreuses pour effrayer les humains, qu’au Moyen-Âge on ne croyait plus qu’au Diable, à l’Enfer et aux châtiments éternels.

L’Église a donc supprimé la croyance en la réincarnation en pensant obliger ainsi les humains à s’améliorer plus vite, mais non seulement ils ne se sont pas améliorés, mais ils sont devenus pires… et ignorants par-dessus le marché ! C’est pourquoi il faut reprendre cette croyance, sinon rien n’est au point : la vie est insensée et le Seigneur, que Jésus a présenté comme notre Père, apparaît comme un monstre.

 La preuve : vous allez trouver un prêtre ou un pasteur, et vous lui demandez : « Expliquez-moi pourquoi tel homme est riche, beau, intelligent, fort, pourquoi il réussit tout ce qu’il entreprend, et pourquoi tel autre est malade, laid, pauvre, misérable et stupide ». Il vous répondra que c’est la volonté de Dieu. Quelquefois, il vous parlera de la prédestination et de la grâce, mais cela ne vous expliquera rien de plus. De toute façon, c’est la volonté de Dieu.

 De cette réponse on est obligé de conclure que le Seigneur a des caprices, Il fait ce qui Lui chante, Il donne tout aux uns et rien aux autres. Bon, admettons, Il est Dieu, c’est sa volonté, il n’y a rien à dire, on doit s’incliner. Mais ce qui est incompréhensible, c’est qu’Il soit ensuite mécontent, furieux et outragé lorsque ceux à qui Il n’a rien donné de bon, commettent des fautes, sont méchants, incroyants, criminels.

Du moment que c’est Lui qui a donné aux humains cette mentalité, ce manque d’intelligence ou de cœur, pourquoi les punit-Il ? Lui qui a tous les pouvoirs, ne pouvait-Il pas les rendre bons, honnêtes, intelligents, sages ? Non seulement c’est sa faute à Lui s’ils commettent des crimes, mais encore Il les punit à cause de ces crimes ! C’est là que ça ne va plus.

Pourquoi n’est-Il pas plus conséquent, plus logique, plus juste ? Il devrait au moins laisser les humains tranquilles. Eh non, Il va les jeter en Enfer pour l’Éternité !  Et là encore, il y a quelque chose qui ne va pas. Car combien de temps ont-ils péché ? Trente ans, quarante ans, cinquante ans ? Bon, qu’ils restent en Enfer autant d’années, pas plus. Mais l’éternité… c’est d’une cruauté invraisemblable!

 Tandis que si on accepte la réincarnation, alors là, tout change : Dieu est vraiment le Maître de l’univers, le plus grand, le plus noble, le plus juste, et nous comprenons que si nous sommes pauvres, stupides, malheureux, c’est notre faute à nous, parce que nous n’avons pas su utiliser toutes les richesses qu’Il nous a données à l’origine : nous avons voulu faire des expériences coûteuses, et Lui qui est généreux et tolérant, nous a laissés abuser de notre liberté en disant : « Eh bien, ils souffriront, ils se casseront la tête, mais cela ne fait rien, car je leur donnerai encore mes richesses et mon amour… ils ont de nombreuses réincarnations devant eux… ce sont mes enfants, et un jour ils reviendront. »

 Alors vous comprenez mieux maintenant le sens des paroles de Jésus : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ». On a rejeté ce précepte, parce qu’il était trop difficile à réaliser. Mais en réalité, la question n’est pas de réussir ou de ne pas réussir, la question est de prendre cet idéal au sérieux et de tendre vers lui. Est-ce que vous arriverez à le réaliser… et dans combien de temps… cela ne dépend pas de vous, mais ce n’est pas cela qui doit vous préoccuper. Peut-être n’y a-t-il personne qui y soit arrivé – la perfection divine est tellement éloignée des humains ! Mais il faut la souhaiter, la désirer, car c’est cette aspiration qui déclenche les qualités et les vertus qui existent en vous en puissance. Vous bénéficiez donc de
leur présence, de leur efficacité et vous vous sentez aidés, soutenus.

Le Créateur a mis dans l’homme des possibilités inouïes, mais pour pouvoir les déclencher et les rendre efficaces il faut avoir le plus haut idéal, car c’est cet idéal qui met tout en mouvement.

Omraam 




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