Les Voies Ascensionnelles : vous avez beaucoup d'éléments qui vous ont été
communiqués par les Étoiles. Donc, je voudrais pas empiéter sur leurs
prérogatives. Les Voies Ascensionnelles, en fait, ça se résume en une phrase.
Parce qu'il est pas question que je vous donne les différentes destinations
possibles parce qu'il y en a une, pour chacun de vous, qui est différente.
Donc, ça c'est impossible. Par contre, vous avez, déjà, une petite idée à
travers ce que vous ont dit les Étoiles. Vous passez d'un système de
fréquences, d'un coup, vous vous retrouvez dans un autre système de fréquences
(c'est la première image) :
sous
l'action du grille planète, sous l'action des Etres qui vous accompagnent
(Lignées stellaires, Origines stellaires, Canal Marial, etc), qui viennent vous
chercher (si on peut dire). Ou alors, vous abandonnez ce corps, comme une
vieille carcasse, pour vous retrouver dans votre Nouveau Corps tout neuf.
Et ça se
passe, bien sûr, avec plus ou moins de joyeuseté, plus ou moins de légèreté,
selon ce que vous avez maintenu comme peurs, comme attachements, comme
blessures. Tant que vous acceptez de vous considérer comme porteurs de ces
ombres, tant que vous considérez que ces ombres vous appartiennent (que ce
soient les blessures, les émotions, les liens et tout ce que vous voulez), ça
crée des résistances. Si vous n'avez plus de résistances et que la Grâce est
là, en permanence, votre Ascension, c'est une formalité, c'est rien du tout.
Je crois qu’il
y a une image qu'a été employée plusieurs fois : c'est comme si, ici (là où
vous êtes), vous êtes dans un rêve et vous allez finir par vous réveiller. Tout
simplement. La Lumière est, certainement, le meilleur stimulant pour l'Éveil.
Mais, toutes les manifestations qui se sont produites (et qui sont appelées à
se produire), durant ces temps là, sont, vraiment, pour vous, des orientations
sur la façon dont cela va se passer.
la drogue, une maladie de l'âme
« En s'efforçant de démontrer
qu'il n'existe aucun Dieu, aucune Providence, aucun Ciel, aucun espoir de vie
après la mort, les penseurs matérialistes ont nié tout ce qui donne son sens à
l'existence humaine: la réalité de l'âme et de l'esprit. Ils ont prétendu que
la religion était "l'opium du peuple" et qu'il suffisait à l'homme
pour être heureux d'avoir de quoi se nourrir, se loger, fonder une famille et
étudier. Or, que se passe-t-il en réalité?
Même lorsqu'il a donné à son
corps, à son cœur et à son intellect tout ce qu'ils demandaient, l'homme n'est
pas satisfait. On voit cela partout tous les jours. Et pourquoi n'est-il pas
satisfait? Parce qu'il a négligé de nourrir l'âme et l'esprit qui ont faim et
soif, et qui réclament!
Voilà pourquoi la drogue, qui se
répand de plus en plus dans le monde, et surtout parmi la jeunesse, est un
avertissement. C'est l'âme qui essaie de faire comprendre ses besoins: elle
étouffe et elle se sert de la drogue pour se libérer. Il fallait se débarrasser
de cet opium qu'est la religion? Voici maintenant la marijuana, l'héroïne, la
cocaïne... Est-ce préférable? La philosophie matérialiste a-t-elle de quoi être
fière de ce résultat?
L'âme a besoin de l'espace
infini, et lorsqu'elle se sent limitée, étouffée, elle cherche par tous les
moyens à s'évader. Les alcools, les drogues sont parmi ces moyens parce qu'ils
ont la propriété de chasser l'âme du corps physique et ils lui donnent donc, au
moins pour un moment, l'illusion de la liberté et de l'espace. C'est parce que
la jeunesse, la pauvre, ne sait pas comment satisfaire ce besoin d'évasion de
son âme, qu'elle se drogue. Mais ce n'est pas une solution, car la drogue,
c'est toujours un élément chimique que l'on donne à son corps. Or, le besoin
d'évasion vient de l'âme, pas du corps. La drogue est un indice que l'âme
demande à voyager dans les espaces infinis, mais ce n'est pas la drogue qui
peut satisfaire l'âme et, non seulement elle ne peut pas la satisfaire, mais
elle détruit le corps. C'est pourquoi je ne conseille à personne de l'utiliser,
sous quelque prétexte que ce soit. La joie, la dilatation, la liberté, la plénitude,
c'est par des moyens spirituels qu'il faut les chercher.
Les vrais adeptes de la Science
initiatique ne comptent sur rien d'extérieur, ils savent qu'au-dedans
d'eux-mêmes Dieu a déposé toutes les possibilités, toutes les richesses, toutes
les substances de tous les laboratoires. Et c'est là qu'il faut les chercher.
Bien sûr, c'est une entreprise de longue haleine qui demande des efforts
quotidiens, mais cela en vaut la peine. La nourriture que vous prenez dans les
régions sublimes de l'âme et de l'esprit vous rassasie pendant des jours et des
jours, car il y a dans le plan divin des éléments d'une telle richesse que, si
vous arrivez seulement une fois à les goûter, la sensation de plénitude qu'ils
vous donnent ne vous quitte plus. Rien ne peut vous enlever cette sensation
d'immensité et d'éternité. »
On n'influence les autres que par l'exemple
« Dès qu'ils découvrent quelques
vérités de la Science initiatique, beaucoup veulent immédiatement instruire les
autres, et ils vont à droite et à gauche pour les prêcher et essayer de les
convaincre. Et s'ils n'y parviennent pas, ils les critiquent et les considèrent
avec mépris. Eh bien, ils vont trop vite, ils n'ont pas encore appris une règle
essentielle de la Science initiatique: que le disciple doit commencer par vivre
une vérité avant de vouloir en convaincre les autres. Et la vivre, cela
signifie l'expérimenter longtemps, faire des exercices avec elle au point
qu'elle devienne enfin chair et os en lui, qu'elle ne fasse plus qu'un avec
lui. Celui qui, tout de suite, commence à vouloir convaincre les autres des
vérités spirituelles, non seulement n'y parviendra pas, mais risque même de les
perdre.
Oui, il faut garder un certain
temps ces vérités en vous sans rien dire, vivre avec elles, les faire vôtres, afin
qu'elles vous apportent des forces et vous aident à triompher des épreuves que
vous aurez à traverser: à ce moment-là, non seulement elles ne vous quitteront
plus, mais quand vous les direz aux autres, à cause de votre accent de
sincérité elles auront une grande force de persuasion.
Mais là encore, il y a beaucoup
de choses à connaître avant de chercher à transformer les autres. Car si
eux-mêmes n'en éprouvent pas le besoin, s'ils n'ont pas compris l'importance
d'une philosophie et d'une discipline spirituelles, il n'y a rien à faire, il
faut les laisser. Leur attitude prouve seulement qu'ils sont très jeunes encore
et qu'ils ont besoin d'expériences, de leçons. Ils souffriront, bien sûr, et
c'est cette souffrance qui les obligera un jour à changer de vie. Mais en
attendant, laissez les tranquilles. Et d'ailleurs, laissez tout le monde
tranquille, occupez-vous seulement de vous améliorer vous-même. Seul votre
exemple montrera aux autres qu'ils se trompent ou qu'ils se conduisent mal.
Oui, votre exemple. C'est en travaillant sur soi-même que l'on travaille sur
les autres: ils s'aperçoivent que vous possédez des qualités qu'ils ne
possèdent pas et, parce qu'ils désirent posséder eux-mêmes ces qualités, ils
sont poussés à vous imiter et à s'améliorer.
Alors, cessez de vous occuper des
autres pour souligner leurs insuffisances et leurs faiblesses car, de cette
façon, non seulement vous ne leur apportez rien de bon, mais vous devenez terne
et désagréable comme eux. Acceptez-les comme ils sont, soyez patient et travaillez
jour et nuit à vous améliorer, vous, jusqu'à leur montrer qu'il y a quelque
chose de magnifique à acquérir. Tant qu'ils n'en ont pas conscience, ce n'est
pas par des paroles que vous le leur apprendrez. Comment pensez-vous pouvoir
convaincre les gens de se débarrasser de faiblesses dont vous ne vous êtes pas
toujours débarrassé vous-même? Comment un craintif peut-il donner de l'audace
aux autres? S'il crie: "En avant!" en tremblant sur ses jambes,
comment va-t-il entraîner les foules? Sachez que c'est seulement la victoire
sur vos faiblesses qui vous donne des pouvoirs, et ces pouvoirs sortiront tôt
ou tard à travers vos yeux, vos gestes, votre visage, votre voix; ils sortiront
même si vous voulez les cacher. Ne croyez pas qu'il est si facile d'aller se
mêler des faiblesses des humains; il faut des années et des années travailler
sur soi-même avant d'en être capable. »
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