La nature a
donné à la femme enceinte des pouvoirs magiques sur la matière vivante de son
enfant. Si elle mène une vie spirituelle, équilibrée et pleine d’amour, elle
donne à l’enfant des atouts dont il fera usage librement toute sa vie pour
devenir un bienfaiteur de l’humanité.
«C’est avant
la conception, déjà, que les parents doivent se préparer pour pouvoir attirer
un esprit sublime, car une entité supérieure ne peut accepter de venir
s’incarner que chez des êtres qui sont déjà arrivés à un certain degré de
pureté et de maîtrise. Ce qui est important pour une telle entité, ce n’est pas
d’entrer dans une famille riche ou glorieuse; elle préfère même quelquefois des
familles modestes où elle ne risque pas d’être tentée par la facilité, mais
elle a besoin de recevoir, de ces parents chez lesquels elle descendra s’incarner,
une hérédité qui n’entravera pas le travail spirituel pour lequel elle a décidé
de venir sur la terre.»
«Pendant les
neuf mois de la gestation, la mère ne travaille pas seulement à former le corps
physique de l’enfant; à son insu elle travaille sur le germe que l’homme lui a
donné en créant les conditions favorables ou défavorables à l’épanouissement
des différentes caractéristiques contenues dans ce germe. Et comment
travaille-t-elle? Elle aussi, en surveillant ses pensées, ses sentiments, la
vie qu’elle mène. L’enfant lui-même ne possède rien, il reçoit tous les
matériaux de sa mère. C’est pourquoi, en les lui donnant, elle doit être très
consciente et, par ses pensées et ses sentiments, ne lui donner que les
particules les plus lumineuses, les plus pures.»
Extrait audio
Le pouvoir
formateur de la mère
Je sais que depuis quelques temps, un grand nombre d’études ont été faites sur la vie du fœtus et sa réceptivité aux influences extérieures, c’est-à-dire aussi bien aux états émotionnels que traverse la mère qu’aux événements qui se produisent autour d’elle.
Je sais que depuis quelques temps, un grand nombre d’études ont été faites sur la vie du fœtus et sa réceptivité aux influences extérieures, c’est-à-dire aussi bien aux états émotionnels que traverse la mère qu’aux événements qui se produisent autour d’elle.
Mais il y a
un aspect de la question qui a échappé aux chercheurs, c’est l’importance pour
la formation de l’enfant de la matière fournie par la mère, car l’enfant,
pendant neuf mois, va se former à l’aide des éléments que la mère lui donne.
Bien sûr, ce
que la mère peut entendre ou voir autour d’elle pendant la gestation se reflète
sur l’enfant, mais ce ne sont là que des empreintes superficielles ; la
constitution, le tempérament de l’enfant dépendent de la qualité de la matière
qu’elle lui donnera, et la qualité de cette matière dépend de sa façon de
vivre. Si la matière est de l’or – symboliquement parlant – l’enfant sera sain
et solide aussi bien physiquement que psychiquement, mais si la matière est de
plomb, il sera maladif, vulnérable.
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