“Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à
l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier. ”
Aujourd’ hui je vais vous parler de façon spéciale – comme le maître parle a
ses élèves quand ceux commencent a apprendre l’alphabet, comme la femme
commence de lavez la laine, de la peigner et de la faire filer, pour préparer
l’étoffe. Aujourd’hui je nommerais ma conversation “Hygiène de l’âme humaine”.
Vous avez écoutez beaucoup de prêcheurs. Jacques dit: “Celui qui ne commet
jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu a l’état d’adulte,
capable de maîtriser aussi son corps tout entier”. Le corps est votre capital,
c’est le principal. Pour cette raison, je vais commencer par ce que vous voyez.
Vous faites très peu attention à votre âme, mais le corps est un immense jardin
où travaille l’ Esprit Divin. Le mouvement assure le sang pour arroser le
jardin Divin. L’hôtesse est reconnue par l’entretien de la maison. Vous n’êtes
pas venu pour bâtir des maisons, mais pour les arranger.
Cette doctrine vous allez l’appliquer sur vous – mêmes. Vous cherchez le
bonheur et vous ne pouvez pas le trouver, mais si je vous prive de nourriture,
d’eau et d’air, alors vous allez le comprendre. Votre bonheur se bâtit sur la nourriture,
l’eau et l’air. La nourriture est en liaison avec la façon de manger et le
corps, l’eau est en liaison avec la façon de boire et le coeur, l’air – avec la
respiration et la raison.
Vous avez besoin de souffrances, pour pouvoir travailler. Celui qui refuse de
travailler, Dieu lui donne de la besogne; s’il refuse la besogne, vient alors
la souffrance; s’il refuse la souffrance, vient la torture. Pour pouvoir
travailler, on exige d’avoir de l’art, du talent – seuls les grands peintres
peuvent travailler. Le travail est pour les savants. De faire la lessive et de
médire c’est du travail. Vous avez quitte le travail, que Dieu vous a donne et
maintenant vous besogner. Lors de la besogne, la souffrance et la torture, il
n’ y a pas de bonheur. La souffrance est une noix difficile à casser; l’art
c’est d’apprendre à la casser et de l’utiliser.
En premier vous devez avoir la foi. Chaque chose qui vous est donnée, vous
devez la vérifier, pour pouvoir l’utiliser. Pourquoi prier, pourquoi manger,
pourquoi boire? – La prière est un procès de respiration. Si vous pensez, est –
ce Dieu entendra notre prière, alors vous avez le doute dans votre prière
envers Dieu. Même si vous ne voyez pas où est le doute, vous pouvez le
ressentir.
Dans chaque désir et dans chaque pensée il y a trois choses – largeur,
profondeur et hauteur. Celui qui possède la profondeur, il ne fait pas du
bruit. Il faut cesser de donner des ordres a l’autrui et de commencer a donner
des ordres a soi – même. Les pensées qui vous gênent, il faut les mettre a part
avec de la foi. La foi est un principe. La foi doit être positive – un endroit
ou peut entrer la vie Divine. Vous devez commencer à travailler avec un plan
sur soi, comme le jardinier travaille dans son jardin. Lorsque vous finissiez
votre devoir dans la maison, vous commencerez avec soi.
La première chose est d’être en bonne santé physiquement et spirituellement. Un
homme qui a perdu sa foi est malade. Comme les enfants qui souvent coupent avec
les ciseaux et abîment, tels sont quelques écrivains et prêcheurs qui abîment
avec leurs ciseaux. Ils sont de fameux destructeurs, c’ est pourquoi il faut
quitter ces maîtres qui abîment. S’il apparaît en vous une mauvaise pensée, qui
veut couper avec son couteau et qui veut abîmer, jetez–la dehors. Ou bien
quelqu’un veut battre le tambour – dites–lui qu’il ne peut pas. Vos pensées
sont vives, elles jouent en vous et autour de vous comme des enfants. Entre en
vous une idée en tête et vous dérange, par exemple on a dit quelque chose sur
votre adresse. Les pensées peuvent vous inquiéter et vous posséder. Non, vous
devez les instruire. Le faut maître est le diable – il vous mène et vous
instruit, jusqu’ a ce que vous restiez avec des habits abîmes. Alors il s’en va
et vous allez auprès de Dieu avec vos habits abîmes, mais il ne vous acceptera
pas, il va vous chasser. Toutefois s’il reste en vous un grain de blé, il y a
un espoir de vous rétablir dans douze ans. Une idée généreuse, si vous savez la
cultiver, est en état de vous transformer dans douze ans en femme la plus
généreuse.
Vous vous démagnétisez sans cesse, vous vous mettez en colère, vous vous
inquiétez. De cette manière dans le système nerveux se produit un trouble à
fond, une fente et un écoulement. Si vous êtes indifférents, votre force magnétique
diminue. Lorsque vous êtes en bonne santé, vous pouvez ressentir l’état des
autres. Le coeur peut perdre sa force magnétique. Ne portez pas votre mari, vos
enfants ou les autres, comme le loup porte le renard. Souvent vous portez des
gens sains sur votre dos. Quand vous rendez service à des gens sains, vous leur
apprenez la paresse. Dieu a envoyé les femmes pour travailler, tandis que vous
cassez des pierres. Si la femme devait être une servante, Dieu allait la faire
des pieds de l’homme, si elle devait être maîtresse – de la tête. Pourtant il
la fait de la cote de l’homme, donc de lui être compagne dans le travail. Et
maintenant que font les jeunes dames? Elles restent devant le miroir et ne
pensent que de mariage. En disant mariage, je veux dire le passage de l’homme
de l’état animal a l’état humain, et de l’état humain a l’état Divin. Ce
mariage est unique – de devenir citoyens du ciel. Pour ce, on demande d’avoir
un corps sain, un esprit sain et un coeur sain.
Comment nourrissez-vous votre âme, votre esprit, votre coeur? Le corps vous le
nourrissez a peu près bien, mais comment nourrissez-vous votre coeur et votre
esprit? La nourriture que vous acceptez sans remercier, ne peut pas procurer
les sensations nécessaires dans votre coeur et votre esprit. Les pensées et les
désirs veulent de la nourriture, des habits, vous ne leur en donnez pas et ils
meurent. Vous avez des désirs colossaux. Tachez d’avoir des idées principales,
qui ne soient pas en contradiction avec les autres. Un homme qui travaille perd
beaucoup d’énergie, par conséquent il doit préserver son énergie.
Vous devez gardez votre foi en Dieu ferme, être sur qu’il a pense de tout. Dieu
prend soin même des vers les plus petits. Un cheveu de votre tête ne peut
tomber sans Sa volonté. Chaque pensée et désir, tout ce que vous voulez vous
sera donné, mais il faut avoir une foi ferme. Chaque chose qui n’a pas été
accomplie dans votre vie, ne la regrettez pas, elle n’a pas été pour vous. Le
fiance d’une demoiselle l’a quitte – ceci se passe, parce qu’il n’a pas été
pour elle. Parfois vous voulez de grandes culottes ou de grande robe, comme
l’enfant veut les vêtements de son frère aine, mais le temps n’est pas encore
venu. En vous tous, il y a des pensées et des désirs inutiles, ce qui montre
que votre foi est faible.
Dieu est une grande fontaine – allez auprès de Lui, pour de l’eau fraîche au
matin, a midi et au soir. Il ne viendra pas auprès de vous, mais vous irez
auprès de Lui. Portez alors avec vous un vase, dans lequel Dieu peut faire
couler sa bénédiction. Tant que vous gardez vos idées bonnes et vos désirs
bons, Dieu vous bénira. Si vous ressentez qu’il ne vous bénit pas, prenez un
vase de quelqu’un d’autre – lisez un bon livre, prenez quelque chose de bien
des gens. Qu’il n’ y ait pas de mauvaises paroles – celui qui veut réussir,
qu’il ne prononce pas de mauvaises paroles.
Maintenant, essayez, sans bouger de concentrer votre pensée vers Dieu. Vous
allez ressentir un pincement, mais si vous bougez, vous allez rater l’exercice.
Par exemple, un jour vous vous dites que vous n’ allez pas prononcer un seul
mot négatif, mais vient alors quelqu’ un qui vous dit quelque chose de mauvais
pour vous, et voila que vous recommencez de médire et vous ratez l’ exercice.
Vous allumez des bougies, vous sacrifiez de l’huile et pourtant vous n’avez
toujours pas la bénédiction – c’est parce que vous parlez mal.
Maintenant recommencez l’exercice pour une, deux, trois, quatre ou cinq minutes
– essayez de ne point bouger, de pouvoir vous contrôler. Après, faites un exercice
de cinq minutes, essayez de penser sur une chose seulement: un exercice de cinq
minutes pour votre corps, un exercice de cinq minutes pour votre esprit, un
exercice de cinq minutes pour votre coeur.
Ce que vous allez procurer de ces exercices, ne le dites a personne. Pour qu’un
désir, une idée puisse se réaliser, il lui faut douze mois. Pour qu’une idée
puisse venir au monde, il lui faut un an, pour d’autres il leur faut dix ans,
etc. Les bonnes idées et désirs forment les vêtements des Anges. Les pensées et
les désirs sont des vêtements, dans lesquels sont habilles les esprits Divins.
Si vous pouvez jouer ce jeu, jouez- le; sinon, pensez- y bien et ne le jouez
pas. Le résultat de ces exercices ne vient pas tout de suite, peut-être dans un
an, mais ne dites a personne ce que vous faites. Tant que vous n’avez pas
encore fait le tissu, ne le mesurer pas pour le vendre.
Commencez avec le moindre - le mot pouvoir. Il vient en vous un grand trouble -
dites-vous je peux, vous souffrez- je peux, vous travaillez- je peux. Dites en
vous- mêmes : « Je peux tout grâce a Jésus !» Si vous n’avez pas compris le mot
pouvoir, vous ne pouvez pas non plus comprendre Jésus. Dans la doctrine de
Jésus, il y a toujours le mot pouvoir. Et lorsque Pierre a dit a Jésus : « Que
cela ne te soit pas, mon Dieu... », Jésus lui a répondu avec le mot pouvoir.
Conjuguez le verbe pouvoir. Si vous ne pouvez pas résoudre un problème, dites
je peux. Dieu va et dit : « Remplissez-lui la cruche », celui qui dit je ne
peux pas, on ne la lui remplit pas. Le mal qui est en vous, c’est du carburant.
Les mauvaises idées, qui vous arrivent sont un élan dans votre développement,
si vous arrivez à les surmonter. Si une mauvaise idée vous vient en tête,
demandez à Dieu ou est sa place. Ne dites rien, ne parlez pas de mal,
taisez-vous - au début vous ressentirez un inconfort, mais ensuite il va brûler
et vous obtiendrez de l’énergie. Si la maladie vous arrive, n’ayez pas peur -
c’est un massage, une bénédiction. Etre raisonnable, signifie être parfait en
paroles. Les gens pleurent, ils sont malheureux, mais moi je dis que ceci est
une bénédiction, parce que les gens travaillent, et moi je me réjouis et
remercie Dieu. Cent et un million d’Anges travaillent sur la Terre et nous
aident. Maintenant se produit un nettoyage et dans ces temps présents, il faut
être vifs et combles de joie - on n’ a pas connu de plus glorieux temps.
Maintenant les gens arrosent leurs jardins.
La religion d’aujourd’hui ne doit pas être comme celle d’autrefois. Une fois un
homme pauvre et religieux est passe près d’une fenêtre ouverte d’une maison
d’un homme riche, il a vu une bourse d’argent et la prise en pensant que c’est
un don de Dieu. Mais les jours venus, lors de chaque prière, la bourse lui
était devant les yeux et il ne pouvait pas prier. Enfin il l’a rendue. Vous
aussi, vous avez voler la bourse de quelqu’ un de riche, c’est pour ça que
quelque chose vous dérange. Lorsque vous médisez de quelqu’un, c’est du vol.
Rendez la bourse, pour que votre prière soit entendue. Ne pensez pas de mal a
personne; s’il vous arrive une telle pensée, jetez-la dehors. En dehors
taisez-vous, travaillez dedans en vous. Pour que chaque désir puisse se
réaliser, il lui faut une période, il vous faut attendre. Un an peut passer,
deux, dix ans – ne vous pressez pas. Quand vous voulez une réalisation soudaine
de votre désir, Dieu va vous envoyer auprès des racines de l’arbre - il vous
donnera un mauvais mari ou une mauvaise femme. Et tous vos malheurs présents
viennent de votre vie passée- vous avez eu de mauvaises pensées et désirs.
Il faut que vous soyez sains physiquement. Lorsque vous grossissez, vous êtes
contents, mais ceci n’est pas sain. Il vous faut avoir de grands muscles, soyez
dociles, soyez humbles. Ne soyez pas détendus, mais actifs. Prenons une de vos
soeurs qui souffre – donnez-lui de la foi, du courage, ne pleurez pas avec
elle, car tous deux vous allez perdre votre foi. Ou bien quelqu’un meurt ; non,
il n’est pas mort, seule sa maison vient d’être détruite et dans quelques
années elle sera bâtie de nouveau. En réalité, l’essentiel de l’homme se cache
dans les bonnes qualités de son âme. La mort est la purification de l’eau, le
passage de la Vie d’une couche a une autre, pour enfin arriver à la surface
comme une merveilleuse fontaine. Il vous faut passer par ce monde, par la
matière, pour pouvoir vous purifier.
Vous écoutez tout ceci, mais le monde va vous troubler. Alors dites-vous : « Je
peux ! » Vous prendrez le Psaume 119 et chaque jour vous apprendrez par coeur
une partie en utilisant le mot pouvoir. Vous devez l’apprendre pour 22 jours.
Chaque jour avant de commencer, vous allez vous laver les mains et les pieds et
vous allez vous dire: « On sera bons, pleins de patience et dociles comme le
sont nos pieds. Si le coeur humain était bon, comme le sont ses pieds, les
hommes seront des sains. Et lorsque nous nous lavons les mains, on dira : « On
sera dociles, bons et justes comme les mains. » Votre esprit doit être prêt a
travailler comme les mains. Comme Dieu est bon, de nous avoir donner des mains
et des pieds, qui puissent nous apprendre à travailler ! Alliez-vous à Dieu et
à tous les hommes, et tout vous sera faisable. Il faut être patient et
serviable comme les pieds, et justes comme les mains. Il faut contrôler son
corps et qu’une harmonie règne parmi vous. Si vous réussissez à vous organiser
pour un an, ce sera bien. Il faut que vous soyez libres comme les oiseaux,
patients comme les mammifères, vaillants comme le lion et raisonnables comme
l’homme.
Commencez a mettre en pratique le mot pouvoir. Si c’est pour de bon, il sera
comme la clef, mais si vous l’utiliser pour de mal, il ne vous servira pas.
Utilisez-le pour relever l’humanité, pour éduquer l’esprit et le coeur, mais
pas pour faire du mal. Dans un an vous devez apprendre a comprendre le mot
pouvoir. La partie « ne » de je ne peux pas, il faut la mettre en dernier. Si
vous êtes embarrasses, dites-vous : « Je peux ! », pour que votre humeur
change. La partie ne, laissez-la de cote, donnez-lui de repos.
Quand vous arrivez à apprendre le psaume, certains d’entre vous auront un
résultat un ou deux sur dix, d’autres trois sur dix - différemment. Même si le
résultat soit un sur dix, ceci est aussi une bénédiction.
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