Merci de votre visite

samedi 18 janvier 2014

L’ HYGIENE DE L’ AME HUMAINE par Peter DEUNOV



Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier. ” 


Aujourd’ hui je vais vous parler de façon spéciale – comme le maître parle a ses élèves quand ceux commencent a apprendre l’alphabet, comme la femme commence de lavez la laine, de la peigner et de la faire filer, pour préparer l’étoffe. Aujourd’hui je nommerais ma conversation “Hygiène de l’âme humaine”.


Vous avez écoutez beaucoup de prêcheurs. Jacques dit: “Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu a l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier”. Le corps est votre capital, c’est le principal. Pour cette raison, je vais commencer par ce que vous voyez. Vous faites très peu attention à votre âme, mais le corps est un immense jardin où travaille l’ Esprit Divin. Le mouvement assure le sang pour arroser le jardin Divin. L’hôtesse est reconnue par l’entretien de la maison. Vous n’êtes pas venu pour bâtir des maisons, mais pour les arranger.


Cette doctrine vous allez l’appliquer sur vous – mêmes. Vous cherchez le bonheur et vous ne pouvez pas le trouver, mais si je vous prive de nourriture, d’eau et d’air, alors vous allez le comprendre. Votre bonheur se bâtit sur la nourriture, l’eau et l’air. La nourriture est en liaison avec la façon de manger et le corps, l’eau est en liaison avec la façon de boire et le coeur, l’air – avec la respiration et la raison.


Vous avez besoin de souffrances, pour pouvoir travailler. Celui qui refuse de travailler, Dieu lui donne de la besogne; s’il refuse la besogne, vient alors la souffrance; s’il refuse la souffrance, vient la torture. Pour pouvoir travailler, on exige d’avoir de l’art, du talent – seuls les grands peintres peuvent travailler. Le travail est pour les savants. De faire la lessive et de médire c’est du travail. Vous avez quitte le travail, que Dieu vous a donne et maintenant vous besogner. Lors de la besogne, la souffrance et la torture, il n’ y a pas de bonheur. La souffrance est une noix difficile à casser; l’art c’est d’apprendre à la casser et de l’utiliser.


En premier vous devez avoir la foi. Chaque chose qui vous est donnée, vous devez la vérifier, pour pouvoir l’utiliser. Pourquoi prier, pourquoi manger, pourquoi boire? – La prière est un procès de respiration. Si vous pensez, est – ce Dieu entendra notre prière, alors vous avez le doute dans votre prière envers Dieu. Même si vous ne voyez pas où est le doute, vous pouvez le ressentir.


Dans chaque désir et dans chaque pensée il y a trois choses – largeur, profondeur et hauteur. Celui qui possède la profondeur, il ne fait pas du bruit. Il faut cesser de donner des ordres a l’autrui et de commencer a donner des ordres a soi – même. Les pensées qui vous gênent, il faut les mettre a part avec de la foi. La foi est un principe. La foi doit être positive – un endroit ou peut entrer la vie Divine. Vous devez commencer à travailler avec un plan sur soi, comme le jardinier travaille dans son jardin. Lorsque vous finissiez votre devoir dans la maison, vous commencerez avec soi.


La première chose est d’être en bonne santé physiquement et spirituellement. Un homme qui a perdu sa foi est malade. Comme les enfants qui souvent coupent avec les ciseaux et abîment, tels sont quelques écrivains et prêcheurs qui abîment avec leurs ciseaux. Ils sont de fameux destructeurs, c’ est pourquoi il faut quitter ces maîtres qui abîment. S’il apparaît en vous une mauvaise pensée, qui veut couper avec son couteau et qui veut abîmer, jetez–la dehors. Ou bien quelqu’un veut battre le tambour – dites–lui qu’il ne peut pas. Vos pensées sont vives, elles jouent en vous et autour de vous comme des enfants. Entre en vous une idée en tête et vous dérange, par exemple on a dit quelque chose sur votre adresse. Les pensées peuvent vous inquiéter et vous posséder. Non, vous devez les instruire. Le faut maître est le diable – il vous mène et vous instruit, jusqu’ a ce que vous restiez avec des habits abîmes. Alors il s’en va et vous allez auprès de Dieu avec vos habits abîmes, mais il ne vous acceptera pas, il va vous chasser. Toutefois s’il reste en vous un grain de blé, il y a un espoir de vous rétablir dans douze ans. Une idée généreuse, si vous savez la cultiver, est en état de vous transformer dans douze ans en femme la plus généreuse.


Vous vous démagnétisez sans cesse, vous vous mettez en colère, vous vous inquiétez. De cette manière dans le système nerveux se produit un trouble à fond, une fente et un écoulement. Si vous êtes indifférents, votre force magnétique diminue. Lorsque vous êtes en bonne santé, vous pouvez ressentir l’état des autres. Le coeur peut perdre sa force magnétique. Ne portez pas votre mari, vos enfants ou les autres, comme le loup porte le renard. Souvent vous portez des gens sains sur votre dos. Quand vous rendez service à des gens sains, vous leur apprenez la paresse. Dieu a envoyé les femmes pour travailler, tandis que vous cassez des pierres. Si la femme devait être une servante, Dieu allait la faire des pieds de l’homme, si elle devait être maîtresse – de la tête. Pourtant il la fait de la cote de l’homme, donc de lui être compagne dans le travail. Et maintenant que font les jeunes dames? Elles restent devant le miroir et ne pensent que de mariage. En disant mariage, je veux dire le passage de l’homme de l’état animal a l’état humain, et de l’état humain a l’état Divin. Ce mariage est unique – de devenir citoyens du ciel. Pour ce, on demande d’avoir un corps sain, un esprit sain et un coeur sain.


Comment nourrissez-vous votre âme, votre esprit, votre coeur? Le corps vous le nourrissez a peu près bien, mais comment nourrissez-vous votre coeur et votre esprit? La nourriture que vous acceptez sans remercier, ne peut pas procurer les sensations nécessaires dans votre coeur et votre esprit. Les pensées et les désirs veulent de la nourriture, des habits, vous ne leur en donnez pas et ils meurent. Vous avez des désirs colossaux. Tachez d’avoir des idées principales, qui ne soient pas en contradiction avec les autres. Un homme qui travaille perd beaucoup d’énergie, par conséquent il doit préserver son énergie.


Vous devez gardez votre foi en Dieu ferme, être sur qu’il a pense de tout. Dieu prend soin même des vers les plus petits. Un cheveu de votre tête ne peut tomber sans Sa volonté. Chaque pensée et désir, tout ce que vous voulez vous sera donné, mais il faut avoir une foi ferme. Chaque chose qui n’a pas été accomplie dans votre vie, ne la regrettez pas, elle n’a pas été pour vous. Le fiance d’une demoiselle l’a quitte – ceci se passe, parce qu’il n’a pas été pour elle. Parfois vous voulez de grandes culottes ou de grande robe, comme l’enfant veut les vêtements de son frère aine, mais le temps n’est pas encore venu. En vous tous, il y a des pensées et des désirs inutiles, ce qui montre que votre foi est faible.


Dieu est une grande fontaine – allez auprès de Lui, pour de l’eau fraîche au matin, a midi et au soir. Il ne viendra pas auprès de vous, mais vous irez auprès de Lui. Portez alors avec vous un vase, dans lequel Dieu peut faire couler sa bénédiction. Tant que vous gardez vos idées bonnes et vos désirs bons, Dieu vous bénira. Si vous ressentez qu’il ne vous bénit pas, prenez un vase de quelqu’un d’autre – lisez un bon livre, prenez quelque chose de bien des gens. Qu’il n’ y ait pas de mauvaises paroles – celui qui veut réussir, qu’il ne prononce pas de mauvaises paroles.


Maintenant, essayez, sans bouger de concentrer votre pensée vers Dieu. Vous allez ressentir un pincement, mais si vous bougez, vous allez rater l’exercice. Par exemple, un jour vous vous dites que vous n’ allez pas prononcer un seul mot négatif, mais vient alors quelqu’ un qui vous dit quelque chose de mauvais pour vous, et voila que vous recommencez de médire et vous ratez l’ exercice. Vous allumez des bougies, vous sacrifiez de l’huile et pourtant vous n’avez toujours pas la bénédiction – c’est parce que vous parlez mal.


Maintenant recommencez l’exercice pour une, deux, trois, quatre ou cinq minutes – essayez de ne point bouger, de pouvoir vous contrôler. Après, faites un exercice de cinq minutes, essayez de penser sur une chose seulement: un exercice de cinq minutes pour votre corps, un exercice de cinq minutes pour votre esprit, un exercice de cinq minutes pour votre coeur.


Ce que vous allez procurer de ces exercices, ne le dites a personne. Pour qu’un désir, une idée puisse se réaliser, il lui faut douze mois. Pour qu’une idée puisse venir au monde, il lui faut un an, pour d’autres il leur faut dix ans, etc. Les bonnes idées et désirs forment les vêtements des Anges. Les pensées et les désirs sont des vêtements, dans lesquels sont habilles les esprits Divins.


Si vous pouvez jouer ce jeu, jouez- le; sinon, pensez- y bien et ne le jouez pas. Le résultat de ces exercices ne vient pas tout de suite, peut-être dans un an, mais ne dites a personne ce que vous faites. Tant que vous n’avez pas encore fait le tissu, ne le mesurer pas pour le vendre.


Commencez avec le moindre - le mot pouvoir. Il vient en vous un grand trouble - dites-vous je peux, vous souffrez- je peux, vous travaillez- je peux. Dites en vous- mêmes : « Je peux tout grâce a Jésus !» Si vous n’avez pas compris le mot pouvoir, vous ne pouvez pas non plus comprendre Jésus. Dans la doctrine de Jésus, il y a toujours le mot pouvoir. Et lorsque Pierre a dit a Jésus : « Que cela ne te soit pas, mon Dieu... », Jésus lui a répondu avec le mot pouvoir. Conjuguez le verbe pouvoir. Si vous ne pouvez pas résoudre un problème, dites je peux. Dieu va et dit : « Remplissez-lui la cruche », celui qui dit je ne peux pas, on ne la lui remplit pas. Le mal qui est en vous, c’est du carburant. Les mauvaises idées, qui vous arrivent sont un élan dans votre développement, si vous arrivez à les surmonter. Si une mauvaise idée vous vient en tête, demandez à Dieu ou est sa place. Ne dites rien, ne parlez pas de mal, taisez-vous - au début vous ressentirez un inconfort, mais ensuite il va brûler et vous obtiendrez de l’énergie. Si la maladie vous arrive, n’ayez pas peur - c’est un massage, une bénédiction. Etre raisonnable, signifie être parfait en paroles. Les gens pleurent, ils sont malheureux, mais moi je dis que ceci est une bénédiction, parce que les gens travaillent, et moi je me réjouis et remercie Dieu. Cent et un million d’Anges travaillent sur la Terre et nous aident. Maintenant se produit un nettoyage et dans ces temps présents, il faut être vifs et combles de joie - on n’ a pas connu de plus glorieux temps. Maintenant les gens arrosent leurs jardins.


La religion d’aujourd’hui ne doit pas être comme celle d’autrefois. Une fois un homme pauvre et religieux est passe près d’une fenêtre ouverte d’une maison d’un homme riche, il a vu une bourse d’argent et la prise en pensant que c’est un don de Dieu. Mais les jours venus, lors de chaque prière, la bourse lui était devant les yeux et il ne pouvait pas prier. Enfin il l’a rendue. Vous aussi, vous avez voler la bourse de quelqu’ un de riche, c’est pour ça que quelque chose vous dérange. Lorsque vous médisez de quelqu’un, c’est du vol. Rendez la bourse, pour que votre prière soit entendue. Ne pensez pas de mal a personne; s’il vous arrive une telle pensée, jetez-la dehors. En dehors taisez-vous, travaillez dedans en vous. Pour que chaque désir puisse se réaliser, il lui faut une période, il vous faut attendre. Un an peut passer, deux, dix ans – ne vous pressez pas. Quand vous voulez une réalisation soudaine de votre désir, Dieu va vous envoyer auprès des racines de l’arbre - il vous donnera un mauvais mari ou une mauvaise femme. Et tous vos malheurs présents viennent de votre vie passée- vous avez eu de mauvaises pensées et désirs.


Il faut que vous soyez sains physiquement. Lorsque vous grossissez, vous êtes contents, mais ceci n’est pas sain. Il vous faut avoir de grands muscles, soyez dociles, soyez humbles. Ne soyez pas détendus, mais actifs. Prenons une de vos soeurs qui souffre – donnez-lui de la foi, du courage, ne pleurez pas avec elle, car tous deux vous allez perdre votre foi. Ou bien quelqu’un meurt ; non, il n’est pas mort, seule sa maison vient d’être détruite et dans quelques années elle sera bâtie de nouveau. En réalité, l’essentiel de l’homme se cache dans les bonnes qualités de son âme. La mort est la purification de l’eau, le passage de la Vie d’une couche a une autre, pour enfin arriver à la surface comme une merveilleuse fontaine. Il vous faut passer par ce monde, par la matière, pour pouvoir vous purifier.


Vous écoutez tout ceci, mais le monde va vous troubler. Alors dites-vous : « Je peux ! » Vous prendrez le Psaume 119 et chaque jour vous apprendrez par coeur une partie en utilisant le mot pouvoir. Vous devez l’apprendre pour 22 jours. Chaque jour avant de commencer, vous allez vous laver les mains et les pieds et vous allez vous dire: « On sera bons, pleins de patience et dociles comme le sont nos pieds. Si le coeur humain était bon, comme le sont ses pieds, les hommes seront des sains. Et lorsque nous nous lavons les mains, on dira : « On sera dociles, bons et justes comme les mains. » Votre esprit doit être prêt a travailler comme les mains. Comme Dieu est bon, de nous avoir donner des mains et des pieds, qui puissent nous apprendre à travailler ! Alliez-vous à Dieu et à tous les hommes, et tout vous sera faisable. Il faut être patient et serviable comme les pieds, et justes comme les mains. Il faut contrôler son corps et qu’une harmonie règne parmi vous. Si vous réussissez à vous organiser pour un an, ce sera bien. Il faut que vous soyez libres comme les oiseaux, patients comme les mammifères, vaillants comme le lion et raisonnables comme l’homme.



Commencez a mettre en pratique le mot pouvoir. Si c’est pour de bon, il sera comme la clef, mais si vous l’utiliser pour de mal, il ne vous servira pas. Utilisez-le pour relever l’humanité, pour éduquer l’esprit et le coeur, mais pas pour faire du mal. Dans un an vous devez apprendre a comprendre le mot pouvoir. La partie « ne » de je ne peux pas, il faut la mettre en dernier. Si vous êtes embarrasses, dites-vous : « Je peux ! », pour que votre humeur change. La partie ne, laissez-la de cote, donnez-lui de repos.


Quand vous arrivez à apprendre le psaume, certains d’entre vous auront un résultat un ou deux sur dix, d’autres trois sur dix - différemment. Même si le résultat soit un sur dix, ceci est aussi une bénédiction.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire